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 De tanto que tropiezo ya sé como caer

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Lyzabeth E. Vega
Lyzabeth E. Vega

MESSAGES : 188
INSCRIPTION : 03/01/2012


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MessageSujet: De tanto que tropiezo ya sé como caer   De tanto que tropiezo ya sé como caer EmptySam 11 Fév - 14:01



no intentes amarrarme ni dominarme yo soy quien elige como equivocarme aprovéchame que si llegué ayer me puedo ir mañana



« maman ??? » Lyzabeth rentra dans le restaurent de sa mère, a une heure pareil il était bien evidemment vide, trop tard pour dejeuner, trop tot pour diner, c’est pour ça que la jolie brune avait decider que c’était l’heure idéal pour venir voir sa mère…Enfin, voir sa mère, ce qu’elle allait surtout faire c’était lui donner des tracts qu’elle avait elle-même fait pour annoncer un concert du groupe. Concert qui allait se jouer ici même, les deux Vega s’étaient donné cette sorte d’arrangement, cela leur faisait de la publicité mutuelle, l’une pour le restaurent l’autre pour le groupe. Beth ferma la porte du restaurent du pied et s’avança vers le comptoire ou elle posa son petit carton de tract, elle en prit un et le regarda, comme si elle voulait s’assurer encore une fois que tout était parfait…Pourtant elle avait prit un long moment a les faires, les garçons les avaient adorer et elle avait eu des reponses plutôt positives d’autre personne. Lyzabeth pencha la tête pour voir si sa mère n’était pas dans les cuisines, cela devait d’ailleurs certainement être le cas, quand elle avait decider d’ouvrir ce restaurent, Lyzabeth avait été plutôt surprise mais ne lui avait en aucun cas empecher, elle savait qu’elle n’en pouvait plus de travailler dans l’organisation de mariage, elle ne pouvait pas l’en blamer, Beth l’avait aider a cette periode a en organiser certains et la première chose qu’elle avait dit était qu’elle refusait de faire ça toute sa vie, maintenant ça lui faisait une ligne de plus dans son CV et ça lui suffisait. Entre les jeunes mariées completement hysterique, les temoins completement taré, les fleuristes qui ne se magnent pas, les orchestres surchargé et les beaux parents qui se disputaient quand venait l’heure de payer la note…Bref, c’était un environnement qu’elle était bien contente d’avoir quitté et elle comprenait que sa mère ai voulu le quitter aussi même si en bonne working girl qui se respecte elle avait trouver ça dommage qu’elle l’ai abandonner alors que cela marchait bien…Mais bon, le restaurent en moins d’un an avait reussit a trouver une petite clientèle et Beth était bien d’accord elle-même pour l’aider…De toute façon, là ou le travail était, Lyzabeth courrait. « je t’ai ramener les tract pour le concert » declara Beth a travers le restaurent qui semblait vide, elle attrapa un des menus qui tronait sur le comptoir et le feuilleta, elle reconnu bon nombre de ces plats qui avaient bercer son enfance, il faut dire que Leonora Vega avait très vite voulu transmettre a sa fille ces quelques details tel la cuisine ou la culture latino…chose a laquelle malgré tout, Beth accrochait moyen, étant très americaniser et vivant dans l’optique du rêve americain donné grace au travail. Lyzabeth entendit alors un bruit, elle releva les yeux et vit alors de ce garçon qui travaillait avec sa mère, elle n’avait pas trop comprit si il était serveur, plongeur ou même laveur de carreau, elle reposa alors son attention sur le menu « salut Lyza’ ! ça va ? » elle ne supportait pas qu’on l’appelle Lyza mais elle laissa cependant passer , pas vraiment par rapport au fait que cela venait de quelqu’un qu’elle ne conaissait pas plus que ça (enfin visiblement lui avait l’air de considerer la connaitre pour pouvoir utiliser un surnom a son egard) mais parce qu’elle n’avait pas vraiment envie de piquer une colère. « bonjour …Julio » t-elle sans lui adresser un regard, elle l’entendit poser la caisse qu’il avait dans les mains et soupirer « pour la douzième fois…c’est Juan… » , la demoiselle grimaça sans pour autant lever les yeux « Juan ? Ah d’accord, bah Juan…oui c’est ça Juan… » elle soupira « bref, je savais que c’était pas d’ici quoi » dit-elle, levant finalement le regard pour lui adresser ce qui devait être le sourire le plus forcé et le plus faux du monde, accompagner d’un regard qui voulait très clairement dire « vous pouvez disposer ». Juan soupira et leva les yeux au ciel tout en recuperant sa caisse qui devait être rempli de bouteille vide a en croire le son qu’elle fit quand il l’a prit en main avant de partir , certainement la deposer dehors. Lyzabeth leva les yeux au ciel puis soupira « Maman ??? T’es la ou pas ?? »
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Léonora M. Vega
Léonora M. Vega

MESSAGES : 434
INSCRIPTION : 03/01/2012


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MessageSujet: Re: De tanto que tropiezo ya sé como caer   De tanto que tropiezo ya sé como caer EmptyJeu 23 Fév - 17:16

«  Écoutes William tu te débrouilles comme tu peux mais tu fais en sorte d'être là. […] Mais je m'en fiche moi de ton client ! T'étais censé garder ton fils ! […] Non on peut pas décaler, figures toi que moi aussi j'avais des trucs de prévu. […] Si c'est vrai, on m'a invité pour le week-end » Juan qui était face à Léo' releva la tête vers elle avec un large sourire. La brune le regarda en relevant les sourcils ne comprenant pas vraiment pourquoi il avait cet air béat, de toute façon elle le comprenait jamais. William lui était toujours entrain de débiter un flot de parole auquel elle ne faisait même plus attention trop absorber par les gestes et mimes que le jeune cuisinier face à elle pouvait lui faire ; heureusement il ajouta des paroles à ses geste et lui dit à voix basse « Toi et moi on sort ce week-end » Léonora secoua la tête énergiquement de gauche à droite avant de laisser échapper un ''non'' qui arriva bien évidemment jusqu'aux oreilles de William, toujours perché au téléphone. « Ah non mais je parlais pas à toi. […] Oui on m'a invité, ça te paraît si improbable ? […] Mais qu'est ce que ça peut te faire de savoir avec qui ? J'ai aucun compte à te rendre.. […] Il bosse au restaurant » A ces mots, Juan se mit presque à sauter dans tous les sens tels un gosse qui venait d'apprendre qu'on allait aller à Disney. Exaspéré par ce comportement mais aussi par elle même et par ce qu'elle venait de dire, Léo' leva les yeux aux ciels. Elle s'était mise dans un sacré pétrin là... Connaissant le jeune homme qu'elle avait engagé, il ne lâcherait rien et à tous les coups le samedi soir il allait se ramener chez elle vers vingt heure pour l'emmener dans un coin branché de la ville, depuis le temps qu'il attendait ça. « Ouais c'est ça. Je m'en fou William, tu te débrouille, fin de la conversation ! » Elle raccrocha, balançant son portable qui glissa sur le plan de travail qui se trouvait dans la cuisine du restaurant. C'était toujours la même chose avec William. Il bossait tout le temps y comprit les semaines pendant lesquels il devait gardé son fils, du coups c'était toujours Léo' qui se retrouvait avec Diego chez elle – pas que ça la dérangeait, elle adorait son fils – mais elle savait bien qu'il en souffrait de ne voir son père qu'une ou deux fois par mois. Le pire, c'était quand William faisait la ''surprise'' de venir chez elle sans prévenir et pour voir leur enfant. Ça c'était typiquement le genre de comportement qui l'exaspérait. « Bon alors je viens te chercher à quelle heure ? » demanda Juan, toujours ce large sourire affiché sur le visage. Elle soupira et récupéra son portable que le brun lui tendait pour lui donner un échange une caisse remplit de bouteille vide. L'avantage avec Juan c'était qu'il acceptait de tout faire dans ce restaurant ; certes à la base il était cuisinier mais il se retrouvait toujours entrain de faire le ménage, la plonge et d'autre trucs dans le genre. « Cherche pas Juan, je sortirais pas avec toi ce week-end » « Et tu vas lui dire quoi à ton ex' si il débarque chez toi ? » « Ça ce sont mes affaires. » lança t-elle avec un sourire, allumant une clope qu'elle comptait bien aller fumer dehors pour se détendre un peu. Les conversation avec son ex' ça la mettait toujours dans un état pas possible. « Oublie pas de sortir les cartons aussi » « Ouais, ouais.. » soupira Juan. La clope au bec, Léonora souffla doucement, passant sa main sur son visage. Juan n'avait pas tord, si William venait à l'improviste – ce qui était un peu sa spécialité donc – il allait pouvoir se foutre d'elle pendant un moment si il comprenait qu'en fait elle n'était pas sortie et que personne ne l'avait inviter ; parce que oui, personne ne l'avait inviter comme d'habitude et son week-end elle avait pensé le passer à flemmarder chez elle, en refilant toutes les charges du restaurant à une autre personnes. En fait, elle voulait juste prend un peu de temps pour elle, après tout elle le méritait non ? Soupirant une nouvelle fois, elle recracha un peu de fumée puis retourna dans la cuisiner « Maman ??? T’es la ou pas ?? » la voix de sa fille perça à travers la pièce et elle se précipita vers la salle principale du restaurant pour aller la retrouver, toujours une partie de sa clope dans la bouche. « Salut ma chérie, ça va ? » lui demanda t-elle avant de déposer un baiser sur son front. Elle s'assit à côtés d'elle derrière le bar et attrapa l'un des tracts qui se trouvait dans le carton. Elle l'examina un moment mais à vrai dire elle savait qu'ils étaient parfaits, Beth faisait toujours parfaitement les choses, c'était dans sa nature. Et dieu seul savait ou est ce qu'elle était aller chercher ça ! « Ils sont superbes tes tracts, comme toujours » Elle lui adressa un large sourire. « Juan ! » cria t-elle alors le restaurant, qui heureusement à cette heure ci était vide. Le jeune homme arriva vers elle et elle lui refourgua une fois de plus le carton. « Tu peux ranger ça s'il te plaît ? » « Bien sûr » lui répondit le jeune homme avec un clin d'oeil et un nouveau sourire. Il s'arrêtait vraiment jamais celui là. ! « Tu veux boire quelque chose ma belle ? » dit elle en recrachant un peu de fumée et en reportant son attention sur sa fille, maintenant que l'autre guignol avait disparu.
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Lyzabeth E. Vega
Lyzabeth E. Vega

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MessageSujet: Re: De tanto que tropiezo ya sé como caer   De tanto que tropiezo ya sé como caer EmptyDim 26 Fév - 14:16

[quote="Lyzabeth E. Vega"]


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Lyzabeth n’était pas le genre de fille qui aimait attendre, au contraire, elle était d’une impatience sans limite et voulait tout tout de suite (du moins quand cela était un minimum possible) mais aujourd’hui, bien que Beth soupirait et faisait bien comprendre (même si il n’y avait personne) qu’elle voulait que sa mère arrive sur le champ, elle ne se manifestait pas plus que ça…Elle savait très bien que si elle intimidait la plupart des personnes dans son travail (ou même autre part d’ailleurs), sa mère n’était pas dupe et était très bien capable de la remettre comme il le fallait a sa place…Bon même si au moment present, Lyzabeth avait ça en tête, elle avait parfois tendance a l’oublier…et sa Leonora n’hésitait pas a lui rappeller que c’était bien a sa mère qu’elle s’adressait et pas a un quelconque collègue de travail…Oui Lyzabeth même avec sa très cher maman avait parfois un peu de mal pour ce qui était de faire la part des choses… Ce n’était pas depuis très longtemps qu’elle était comme ça…En faite, c’était depuis qu’elle travaillait, pendant ses études, Lyzabeth n’était pas si « hautaine » et tout ce que cela englobait, elle était quasiment sur qu’elle allait reussir, elle sentait une certaine competition avec les autres mais dans un esprit moderé : leur reussite n’avait rien a voir avec la sienne. Et puis, il suffisait d’étudier et tout marchait bien, d’ailleurs la jeune demoiselle n’avait jamais eu aucun soucis en ce qui concernait les cours et les resultats…Ce qui au depart était « pour faire plaisir a maman » était devenu une chose tout a fait normal…puis l’entrée dans le monde du travail l’avait mise en competition avec tout le monde, elle voulait être la première et reussir… sans doute aussi prouver que le travail acharné rendait forcement. Bref, Lyzabeth voulait vivre son rêve americain et comptait bien reussir. Lyzabeth venait de « gentillement » faire disposer ce certain Juan qui travaillait ici…Lyzabeth n’était pas du genre a être pire qu’exécrable avec les employés, elle aurait d’ailleurs pu être un peu plus mechante avec lui …mais le fait qu’il la prenne pour sa copine n’était pas vraiment quelque chose que Lyzabeth acceptait…D’ailleurs elle ne comprenait pas la logique de sa mère, qu’on soit très cordial voir ami avec un chef cuisinier ou avec quelqu’un d’important dans le restaurent ne la genait pas…Mais qu’un plongeur/serveur –ou quoi qu’il fasse d’autre, puisse se permettre un copinage avec la patronne…elle trouvait ça un peu abusé.
« Salut ma chérie, ça va ? » ; Lyzabeth sourit aimablement (oui ça lui arrivait) puis sa mère l’embrassa sur le front, Lyzabeth grimaça lègèrement « oui très bien et toi ? » sa mère prit alors un des tracts et se mit a l’examiner, elle esperait que cela lui conviendrait car elle avait déjà envoyé a bons nombre de personne la version electronique de ce même tract, prevenu tout le monde sur les reseaux sociaux tel que facebook et twitter et avait même commencé a recevoir des coups de telephones de personne qui voulaient une table (reconduisant ceux-ci a Leonora) « Ils sont superbes tes tracts, comme toujours » Lyzabeth repondit du sourire de sa mère par un autre, elle aimait qu’on apprecie son travail, elle ne pouvait pas le cacher, on ne peut recevoir trop de compliment selon Lyzabeth qui adorait qu’on lui dise a quel point elle travaillait dur, quand ce qu’elle faisait était bien ou alors la phrase fetiche du leader du groupe qu’elle gerait : « Beth mais qu-est-ce qu’on ferrait sans toi ?? » - elle repondait très souvent « pas grand-chose » (oui modeste la demoiselle) « Juan ! » cria alors Leonora ce qui provoqua un froncement de sourcils de la part de sa chère fille. « Tu peux ranger ça s'il te plaît ? » dit-elle alors en donnant un autre carton a l’employé, « Bien sûr » repondit-il tout sourire et avec un clin d’œil…Lyzabeth ne manqua pas de hausser un sourcils suivant le jeune homme partir du regard « il se prend pour qui lui ? t’es sa patronne ou sa copine ? » dit-elle avant de se tourner vers sa mère pour recevoir a ce moment une bouffée de fumée de cigarette « Tu veux boire quelque chose ma belle ? » Lyzabeth agita la main devant son nez pour faire partir la fumée, affichant une mine degouté « non je pense que ça ira… » elle toussota puis regarda la cigarette de sa mère toujours avec cette mine de degout.
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